:: LE FORUM ::

[Dolu]

PARIS (Reuters) - Un Fran�ais vivant au Venezuela, Christophe Beck, a �t� enlev� il y a un mois dans l'ouest de ce pays, annonce le gouvernement fran�ais, confirmant des informations donn�es par sa famille.

"Je vous confirme qu'un ressortissant fran�ais a �t� enlev� le 13 d�cembre dans l'Etat de Barinas", a d�clar� le porte-parole du Quai d'Orsay, Jean-Baptiste Matt�i.

"Notre ambassade a �t� inform�e le jour m�me par la famille et a aussit�t entrepris toutes les d�marches possibles pour obtenir la lib�ration de notre compatriote en liaison avec les services de police et les autorit�s judiciaires locales charg�s de l'enqu�te", a-t-il ajout�.

Il a assur� que les services fran�ais �taient "en contact quotidien avec la famille" de l'otage "pour lui donner toute l'assistance n�cessaire".

Selon sa fille, Francesca Beck, jointe par Reuters � son domicile de Corb�re (Pyr�n�es-Orientales), les ravisseurs de Christophe Beck menacent de l'ex�cuter si une ran�on de l'�quivalent d'environ 40.000 euros n'est pas vers�e avant le dimanche 15 janvier.

Cette revendication a �t� re�ue par t�l�phone il y a deux jours par l'un des fils de Christophe Beck, Franck, qui vit lui aussi au Venezuela.

Christophe Beck a �t� enlev� le 13 d�cembre � l'aube dans la ferme o� il vit avec son �pouse Martine.

"Vers six heures du matin, mon p�re a entendu les chiens. Il est sorti, cinq individus lui sont tomb�s dessus et l'ont frapp�. Ils ont ligot� maman et ont d�rob� ses bijoux, de l'argent, des fusils, les t�l�phones portables et fixes. Ils sont ensuite repartis avec mon p�re � bord de sa propre voiture", a racont� Fransesca Beck.

Toujours selon sa famille, Christophe Beck serait d�tenu � la fronti�re colombienne. Des photos de l'otage ont �t� remises � sa famille environ 10 jours apr�s son enl�vement.

"Il �tait amaigri mais il avait l'air en bonne sant�. Le bandage qu'il a � la main - il �tait en attente d'une greffe de peau avant son enl�vement - �tait propre", a dit Fransesca Beck.

Jean-Baptiste Matt�i n'a pas souhait� faire de commentaire concernant les revendications des ravisseurs, rappelant que "dans ce genre d'affaires, la discr�tion est de mise".

Ag� de 60 ans, Christophe Beck �l�ve des z�bus blancs sur une propri�t� de 1.200 hectares acquise en 1992 dans la r�gion de Libertad, � la fronti�re colombienne. D�sireux de rentrer en France, il avait mis sa ferme en vente il y a deux ans.

Le 11/01/06
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Ludovic

Les vertus se perdent dans l'int�r�t
Comme les fleuves dans la mer.

De la Rochefoucaud

[Agn�s]

on en a parl� un peu a la t�l� francaise et dans les journaux ou pas??? parce que je n'en ai pas du tout entendu parler a part de ta part... et on est le 15...

[fernand]

depuis son enlevement plus de nouvelles
que devient ce francais???????????peut on donner de ces nouvelles
ou alors y a unsite qui en donnent

merci

[Dolly]

En effet, on surveille les infos au sujet de cet otage mais h�las, � l'heure actuelle, pas de news.

Je vais regarder s'il existe un site, un blog, ou tout simplement plus d'info et si je trouve qqc, je le poste ici.

Besos,
Dolly
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Plus que la col�re,
Plus que le m�pris,
Plus que le sanglot...
(Pablo Neruda)

[camille]

Je viens de regarder apparemment pas de blog de soutien pour l'instant et les infos datent ....
Douste Blazy l'avait cite dans son allocution de bonne annee ... il est au courant ...
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�� " La vie ne vaut rien, rien ne vaut la vie" (Alain Souchon)
" La vie ne tient qu'� un fil, c'est fou le prix du fil" (Daniel Pennac) ��

Oooooouuuuh rapadabstaiiiiiii

[Dolly]

En fouillant un peu sur Google, voici ce que j'ai trouv� de plus r�cent. �a n'apporte pas grand chose mais c'est la preuve que lui non plus, on ne l'oublie pas...

Article Lib�ration, Mardi 14 f�vrier 2006

Sans nouvelles de trois Fran�ais

La famille d'Ingrid Betancourt attend toujours des nouvelles de la Franco-Colombienne enlev�e par les Forces arm�es r�volutionnaires de Colombie (Farc, extr�me gauche), il y a bient�t quatre ans. Les Farc n'ont pas envoy� de preuve de vie depuis ao�t 2003.

L'�tudiant fran�ais Marc Beltra est port� disparu depuis deux ans. Sa trace a �t� perdue pr�s de Leticia, ville de l'Amazonie colombienne frontali�re avec le Br�sil et le P�rou. Les autorit�s fran�aises attendent depuis des mois une autorisation br�silienne pour approfondir l'enqu�te.

Enfin, les ravisseurs de Christophe Beck, Fran�ais enlev� en d�cembre au Venezuela voisin, exigent une ran�on pour le rel�cher.
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Plus que la col�re,
Plus que le m�pris,
Plus que le sanglot...
(Pablo Neruda)

[denis]

d'apres les sources que j'ai eu ce fran�ais n'est toujours pas l
libere

[etima]

Une cassette vid�o prouve que Ch. Beck est en vie


Trois mois apr�s l�enl�vement de Christophe Beck au V�n�zuela, ses ravisseurs ont envoy�
une cassette vid�o aux autorit�s du pays. Une preuve mat�rielle qui redonne espoir � sa famille.

Au compte-goutte.
C�est � ce rythme insoutenable qu�arrivent les informations sur les conditions de d�tention de Christophe Beck, retenu en otage au Venezuela depuis le 13d�cembre dernier. Plus de trois mois d�attente et d�angoisse pour sa famille et ses proches.
La semaine derni�re pourtant, une cassette vid�o, "dont les images montrant Christophe Beck �taient malheureusement floues", est venue redonner espoir au clan Beck. Car jusqu�alors, les derni�res preuves de vie remontaient � quelques coups de t�l�phone et � cinq photos remises � la famille au d�but du mois de janvier.
"Nous avons maintenant une preuve mat�rielle que Christophe Beck est encore en vie" rapportait hier le d�put� Fran�ois Calvet, qui suit le dossier de tr�s pr�s depuis qu�il a �t� mis au courant de l�enl�vement du ressortissant fran�ais, anciennement install� � Millas.
"Comme dans toutes les affaires d�otages, la discr�tion est �videmment de mise et la publicit� n�est pas la meilleure chose. Je suis en contact permanent avec la cellule diplomatique de Matignon qui me tient inform� de l�avanc�e des n�gociations. "
Soumis au quasi secret, le d�put� soulignait malgr� tout que "les craintes de ces derni�res semaines sont d�sormais lev�es, malgr� une ran�on qui a une nouvelle fois �t� r��valu�e de mani�re tr�s importante."

Ran�on augment�e
Les ravisseurs ne cessent en effet de changer le montant de la ran�on, qui aurait quasiment �t� quintupl�e. Les n�gociations qui, pendant les premi�res semaines de captivit�, s�op�raient par t�l�phone avec l�un des fils de l�otage, ont �t� prises en main par deux n�gociateurs envoy�s par le minist�re des Affaires Etrang�res fran�ais.
A Libertad, dans la propri�t� de 1200 hectares sur laquelle l��leveur �g� de 60 ans a �t� sauvagement enlev�, Martine, son �pouse, Franck et Didier, les deux fils, continuent tant bien que mal � g�rer le troupeau de z�bus blancs. Prot�g�s en permanence par un policier local et aid�s par un administrateur, les Beck s�accrochent plus que jamais � l�espoir d�une lib�ration prochaine.
Avant Christophe Beck, deux autres �leveurs fran�ais avaient �t� pris en otage. Jean Decorde avait �t� lib�r� apr�s 47 jours de d�tention. Ir�ne Bellat avait, quant � elle, d� endurer 7 mois de captivit�

S. Canal

[denis]

je suis bien content pour la famille des nouvelles que je viens de voir
avec l'espoir que tout ce termine bien

[Chiqui]

Bonjour � tous!

Nous sommes en octobre 2006 nous ne savons toujours rien de monsieur Beck. A t- il �t� lib�r� ? est- t- il toujours au Venezuela ? Personne ne dit si les ravisseurs sont v�n�zu�liens ou colombiens.

Au Venezuela on entend aussi parler des invasions des terrains et du haut nivaux de d�linquance : des vols � main arm�s, des agressions, des assassinats�et le gouvernement du Venezuela ne fait rien pour r�soudre ces probl�mes, et ce qui est pire, ses repr�sentent incitent et justifiants les actions violentes comment celles-ci. Dans ce pays nous pouvons nous rendre compte que l�impunit� met en p�ril la vie de beaucoup de v�n�zu�liens et d'�trangers jour apr�s jour.

Je demande au gens qui ont �t� victimes de violences au Venezuela de la d�noncer, de faire conna�tre � la communi� internationale les irr�gularit�s qui se passent dans ce pays.

Je suis v�n�zu�lienne et j�ai honte de ce qu'est devenu mon pays. J�ai du quitter le Venezuela, comme beaucoup de mes compatriotes, car il est impossible de vivre la pseudo d�mocratie impos� par le r�gime actuel, sous le terme pompeux de "d�mocratie participative", se cache en fait une dictature de type Fidel Castro, mais en plus selon un model totalement r�trograde, anachronique, dict�e uniquement par le culte de la personnalit�! Il n�y a d�j� plus de place pour la diff�rence d'opinion ni m�me pour la libert� d'expression.

Je veux transmettre un message de solidarit� � la famille Beck, et je voudrait aussi exprimer mes condol�ances � la famille de la touriste italienne Elena Vecoli qui fut assassin�e par des delenquents sur l��le de
"Los Roques". Ce cas est l'un des 550 homicides commis au mois de septembre 2006 au Venezuela.

[radioactifs]

�a y est, Beck est enfin libre !!! les infos en parleront surement ces jours-ci.... il �tait temps !!!

[Herv�]

C'est clair, c'est excellent pour lui ! Maintenant, esp�rons que cela bouge pour Ingrid... et vite...
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"Pour que le monde soit meilleur, il faut que tout le monde s'am�liore" Tolsto�
"Prosper, Youplaboum !" Un ours t�l�g�nique

[Herv�]

A malin, malin et demi, non ? Douste s'est fait ruser ! Lisez �a :

L�ex-otage fran�ais du Venezuela : "ma famille a �t� d�laiss�e par la France"
(AFP) - "Ma famille a �t� d�laiss�e par la France pendant toute ma d�tention", a indiqu� lundi � l�AFP Christophe Beck, l��leveur fran�ais r�cemment lib�r� contre ran�on apr�s avoir �t� s�questr� plus d�un an par ses ravisseurs au Venezuela.

"Ma famille n�a re�u aucune soutien et je d�mens les propos tenus dimanche par le ministre des Affaires �trang�res Philipe Douste-Blazy comme quoi son minist�re s��tait pleinement mobilis�" pour elle", a-t-il indiqu� � l�AFP depuis sa maison de Corb�re (Pyr�n�es-Orientales) au lendemain de son retour en France.

Amaigri, fatigu�, l�ex-otage, �g� de 62 ans, y a f�t� No�l avec toute sa famille dimanche soir, quelques heures apr�s son retour � Perpignan, via Paris, et six jours apr�s sa lib�ration dans une r�gion d�sertique du Venezuela proche de la fronti�re colombienne. "L�Etat fran�ais n�a pas vers� un seul centime pour payer ma ran�on dont je pr�f�re encore garder le montant secret", a-t-il par ailleurs pr�cis�.

L��leveur avait �t� enlev� le 13 d�cembre 2005 au matin par cinq hommes dans sa ferme pr�s de Barinas, au sud ouest de Caracas o� il s��tait install� il y une douzaine d�ann�es. Ses ravisseurs avaient r�clam� 100 millions de bolivars (40.000 euros) pour sa lib�ration. Celle-ci �tait intervenue dans la nuit du 20 au 21 d�cembre, apr�s le paiement de la seconde partie de sa ran�on, a pr�cis� son fils Franck.

"Ma famille avait demand� certaines aides au gouvernement, elle n�a jamais �t� entendue, mon �pouse a m�me sollicit� un pr�t d�argent �quivalent � 10.000 euros, sans succ�s. C�est ma famille et mes amis qui ont pay� pour me lib�rer", a indiqu� Christophe Beck.

"A la demande de la famille et pour garantir l�efficacit� de notre action, la plus grande discr�tion a �t� observ�e" pendant sa d�tention, avait pr�cis�

M. Douste-Blazy dimanche. Apr�s les f�tes, Christophe Beck entend donner des d�tails sur sa captivit�, qualifi�e d�"enfer" par son fils, Franck qui a pr�cis� qu�il "�tait d�tenu seul par des guerilleros de l�ELN" ("Arm�e de lib�ration nationale", un mouvement de lutte arm�e d�inspiration gu�variste de Colombie, dont la fronti�re est proche de la maison de l��leveur). Christophe Beck pr�f�re parler avec humour de "vacances tr�s ch�res sans les prestations qui vont avec".

"Lorsque je raconterai ma d�tention, il y aura certainement des incidences politiques au Venezuela, en Colombie et par ricochet en France", a pr�dit l�ex-�leveur qui avait toutefois remerci� dimanche les autorit�s diplomatiques et consulaires fran�aises � Caracas, ainsi que les envoy�s du Quai d�Orsay au Venezuela "qui ont contribu� � (sa) lib�ration".

Il a indiqu� lundi que le seul contact avec les autorit�s fran�aises � son retour � Paris avait �t� la pr�sence � Roissy d�un repr�sentant du Quai d�Orsay qui avait l�avait accueilli en compagnie de sa femme, son fils et sa belle-fille v�n�zuelienne, avant de leur faire visiter Paris.
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[Herv�]

Christophe Beck l'a redit, ce matin, sur Europe 1, tandis qu'on attend des r�v�lations pour tr�s prochainement :

L'ex-otage fran�ais au Venezuela amer envers le Quai d'Orsay

PARIS (Reuters) - Christophe Beck, l'ex-otage fran�ais lib�r� peu avant No�l apr�s plus d'un an de captivit� dans la jungle v�n�zu�lienne, a estim� que la France ne s'�tait pas suffisamment mobilis�e pour obtenir sa lib�ration.
Christophe Beck, interrog� sur Europe I, a estim� que "l'ambassade de France � Caracas et le consulat" avaient "fait tout ce qu'ils ont pu" et que la police avait "�norm�ment travaill�", mais que le minist�re fran�ais des Affaires �trang�res n'avait pas suivi.

"Je pense et je soup�onne que le quai d'Orsay n'a absolument pas donn� les moyens n�cessaires, soit � l'ambassade, soit aux officiers de police pour terminer et continuer le travail", a-t-il d�clar� sur la station de radio.

"Qu'on laisse sous-entendre que l'Etat a pay� pour ma lib�ration.... Que tout le monde sache bien qu'il n'y a eu aucun centime pour ma lib�ration qui ait �t� pay� par l'Etat fran�ais".

La ran�on de 40.000 euros r�clam�e par les ravisseurs a �t� r�unie par la famille et par "des amis qui nous ont pr�t�s de l'argent", a indiqu� Christophe Beck.

"A l'heure actuelle, nous sommes ruin�s � 100% et je dois de l'argent � pas mal d'amis", a-t-il ajout� en sous-entendant que son �pouse avait sollicit� en vain un pr�t de l'Etat fran�ais.

"Je ne pense pas qu'un pr�t de 10.000 euros aurait mis en p�ril la nation fran�aise", a estim� Christophe Beck.

Le ministre fran�ais des Affaires �trang�res, Philippe Douste-Blazy, avait indiqu� dimanche dans un communiqu� que le minist�re des Affaires �trang�res s'�tait "pleinement mobilis� pour assister la famille de notre compatriote pendant la dur�e de sa captivit�".

Dans un nouveau communiqu� publi� mardi soir apr�s l'intervention de Christophe Beck, le quai d'Orsay indique que "dans les affaires d'otages (...), le principe est de ne pas c�der aux pressions pour obtenir de l'Etat qu'il paye une ran�on."

Christophe Beck, qui a retrouv� dimanche sa famille � Perpignan, cinq jours apr�s sa lib�ration par ses ravisseurs, a racont� que ses conditions de d�tention dans la for�t tropicale amazonienne �taient "tr�s dures".

"J'�tais encha�n� jour et nuit, assis sur une pierre ou simplement un hamac en-dessous d'une b�che en plastique pour dormir", a-t-il racont� sur Europe I en �voquant "les serpents venimeux, les mygales, les moustiques".

Il avait �t� enlev� le 13 d�cembre 2005 par des gu�rilleros de l'Arm�e de lib�ration nationale dans la ferme qu'il exploite au sud-ouest de Caracas.
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[Herv�]

Communiqu� envoy� ce jour par rapport � Christophe Beck, notamment.

L�ann�e 2006 aura �t� impitoyable pour Ingrid Betancourt, Clara Rojas et les otages de Colombie. A l�aube de 2007, le Comit� de soutien IDF esp�re que les acteurs concern�s par ce dossier prendront enfin de bonnes r�solutions.

En premier lieu, les FARC. Les gu�rilleros colombiens se disent pr�ts pour un accord humanitaire : qu�ils le d�montrent ! Avant d�entrer dans ce processus, la n�cessit� absolue est de savoir comment va Ingrid. Depuis 3 ans et demi, nous sommes sans preuves de vie. Notre exigence prioritaire pour 2007 est donc qu�ils nous prouvent qu�Ingrid est vivante.

Un autre acteur a son r�le � jouer : le gouvernement colombien. En 2007, nous l�invitons � faire preuve d�une volont� politique sans faille pour conclure l�accord humanitaire. Alvaro Uribe a � c�ur d��tre un homme fort de convictions : dans ce cas, sa volont� ne doit plus s�an�antir face aux premi�res difficult�s.

Enfin, le r�le de la France n�est pas � taire. Derni�rement, Christophe Beck, otage fran�ais, a �t� lib�r� : nous nous en r�jouissons. De m�me, nous nous unissons � la col�re de sa famille quant � l�absence inacceptable d�un soutien minimum du Quai d�Orsay, dans la gestion de cette affaire. Une col�re similaire � celle de la famille de Marc Beltra, Fran�ais disparu en Colombie depuis 1121 jours, et dont l�Etat se soucie trop peu.

C�est pourquoi en 2007, nous invitons le Minist�re des Affaires �trang�res � se mobiliser r�ellement pour ses otages et notamment Ingrid, citoyenne franco-colombienne. Apr�s bient�t 5 ans de prise d�otage, il est incompr�hensible qu�aucun fonctionnaire n�ait pour seule et unique t�che de travailler � sa lib�ration, comme cela fut le cas pour Florence Aubenas. Le Comit� de soutien IDF fait ici part de sa d�ception apr�s des d�clarations et des promesses qui demeurent, � ce jour, lettre morte.

Le Comit� de soutien IDF � Ingrid Betancourt esp�re que cette ann�e sera enfin synonyme de lib�ration. Pour cela, tous les acteurs se doivent de passer des paroles aux actes.
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