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[manu]

mardi 12 d�cembre 2006, 17h43
De la coca�ne dans des sucettes pour enfants


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MADRID (AFP) - Pas de tr�ve des confiseurs pour les cartels colombiens: la garde civile espagnole a annonc� mardi la saisie de 4.500 doses de coca�ne camoufl�es dans des sucettes pour enfants.

La drogue, d�tect�e � l'a�roport de Madrid-Barajas en provenance de Colombie, a �t� saisie dans 55 sucettes contenant chacune entre 80 et 90 doses de coca�ne envelopp�es dans du latex et dissimul�es � l'int�rieur du bonbon.

Une fois arriv�e � Madrid, la coca�ne devait �tre envoy�e sous pli postal au bureau de poste de Tafalla en Navarre (nord). Elle devait y �tre r�ceptionn�e par deux Dominicains et une Colombienne, qui ont �t� interpell�s.

L'Espagne est l'une des principales portes d'entr�e de la coca�ne en Europe. En 2005, les saisies de cette drogue y ont atteint un record de 46,6 tonnes.

[Invit�]

ptain spam!!!!!!!!!

Shut tehe F..k up

[Invit�]

Dans l�ombre d�Ingrid Betancourt, cinq morts oubli�s en Equateur
Par Florence Autret | Journaliste | 16/04/2008 | 11H14

L�assassinat de Raul Reyes, num�ro deux des Forces arm�es r�volutionnaires colombiennes, n�a pas seulement interrompu les n�gociations pour la lib�ration d�Ingrid Betancourt. Dans le camp des Farc, l�arm�e de Colombie est �galement "tomb�e" sur un groupe d��tudiants mexicains attaqu�s avant leur interview de Raul Reyes. Ils �taient cinq. L�une a surv�cu, les autres ont �t� massacr�s. Sur les images saisies apr�s le drame, on voit des corps presque nus, des restes humains �parpill�es; sur un �tendoir, les �tudiants avaient suspendu leurs jeans pour la nuit.

Les autorit�s colombiennes ont imm�diatement fait des cinq �tudiants des gu�rilleros. Leurs parents et la survivante assurent au contraire qu�ils �taient l�-bas pour enqu�ter sur la gu�rilla sur laquelle ils faisaient des recherches � la facult� d�histoire de l�universit� de Mexico. Leur s�jour en Equateur ne se limitait pas � cette rencontre avec Raul Reyes. A Quito, ils avaient rencontr� des responsables politiques, suivi des conf�rences. Pour la presse sud-am�ricaine, il ne fait pas de doute qu�ils n��taient pas des combattants. Le magazine chilien Punto Final leur a consacr� une enqu�te sous le titre "Ni 'angelitos' ni delincuentes: la muerte de cinco estudiantes mexicanos en el campamento de las FARC en Ecuador" (Ni anges ni d�linquants: la mort de cinq �tudiants mexicains dans le camp des Farc en Equateur) (lire l'article en espagnol sur Bolpress).

Dans quelle condition sont-ils morts? Victimes du bombardement pr�alable � l�assaut ou assassin�s sur place par l�arm�e colombienne? Pourquoi ont-ils �t� tu�s ? Leurs proches craignent de ne jamais avoir de r�ponses � ces questions. Que fera le Mexique, leur pays, pour demander justice? Que fera l�Equateur qui ne contr�le pas sa fronti�re sud, o� les Farc se sont repli�es? Que fera la Colombie, outre justifier son militarisme par le terrorisme? Le 11 mars, les parents des victimes ont cr�� l�Association des parents des massacr�s du 1er mars, pour tenter de faire la lumi�re sur ces �v�nements, de faire en sorte que la guerre qui mine la r�gion et a pris la vie de leurs enfants n�ait pas raison de l�id�e m�me de justice.

Un meurtre d'Etat?

Alors que la mobilisation pour la lib�ration d�Ingrid Betancourt maintient la Colombie sous les feux de l�actualit�, ce massacre n�a trouv� aucun �cho dans la presse fran�aise. L�un des risques de la m�diatisation de la captivit� d�Ingrid Bettancourt est la perte du sens politique de son histoire. Demander sa lib�ration, ce n�est pas seulement faire un geste �vident d�humanit�. C�est aussi protester contre la barbarie des prises d�otage, �rig�e en technique de guerre. C�est aussi s�en prendre � la violence et � la faiblesse de la d�mocratie colombienne. Le risque de la personnalisation � outrance du drame d�Ingrid Betancourt serait de glisser de cette conscience politique vers la pure compassion.

La lib�ration humanitaire des otages est une strat�gie diplomatique qui se d�fend. Mais leur captivit� fait partie d�un jeu politique et g�opolitique plus large et plus complexe. L�oublier serait trahir le sens m�me du combat de la s�natrice franco-colombienne qui n�avait pas de mots assez durs contre la corruption et les multiples entraves aux libert�s, � la justice, � la d�mocratie qui minaient son pays. Ne pas passer sous silence le massacre de ces jeunes gens perp�tr� par l�arm�e colombienne en Equateur et le d�ni de justice oppos� jusqu�� pr�sent � leurs parents, c�est prolonger son combat contre le meurtre et pour la justice. Si le silence retombait sur le drame des �tudiants mexicains sans qu�une enqu�te ait �t� men�e et que ses circonstances soient �claircies, leur mort deviendrait un meurtre d�Etat. Quant au sens humain de ce drame, n�est-il pas fondamentalement le m�me que celui v�cu par Ingrid Bettancourt?

[Invit�]

je voudrais pas me faire l'avocat du diable, mais ils etudi�s quoi au juste ces edtudiants???
Les Campements FARC ne sont pas des attractions touristiques!!!

[Invit�]

C'est pas cr�dible cette histoire
Quel professeur responsable accepterait un tel projet d'�tude et de voyage aussi dangereux pour la s�curit� de ses �l�ves dans la jungle chez les Farc ?
Idem pour les parents

[Invit�]

Les Farc et autres groupes paramilitaires "recrutent "des enfants soldats

https://www.noticias24.com/actualidad/?p=13589



Una ni�a de 10 a�os se escap� de las FARC y se someti� a las autoridades luego de ver morir a su hermano mayor. �Le dimos una mu�eca y ella nos dijo que su primer presente hab�a sido un fusil�, contaron. Hoy lo rese�a el sitio web Infobae.
El comando de la brigada 30 del Ej�rcito, general Paulino Coronado, dijo que la peque�a se present� ante las autoridades diciendo haber sido reclutada por las FARC.

�Le dimos una mu�eca a la ni�a y ella nos dijo que su primer regalo hab�a sido un fusil AK47 que le entregaron hace dos meses� � se�al� Coronado, quien a su vez indic� que existe una tendencia en la guerrilla a reclutar menores de edad.

Justamente, la organizaci�n denominada Colombia Soy Yo se form� como una comunidad virtual en Internet que lleva a adelante manifestaciones contra el reclutamiento de menores en las filas terroristas.

Seg�n la investigadora Natalie Springer, hay 40.000 menores que militan en grupos armados irregulares, de los cuales 14.000 est�n en las filas de la guerrilla o los paramilitares.

V�a Infobae

[oppong]

[Invit�]

[oppong]

Une fois n'est pas coutume, j'ai oubli� de "signer" mon dernier message... Je ne pourrai plus me moquer de Marie-Christine ou MH...

[Invit�]

Regain d'espoir en Colombie apr�s la mort du chef des Farc, Manuel Marulanda


De nombreux Colombiens se montraient optimistes lundi, au lendemain de l'annonce de la mort du chef historique des Farc, Manuel Marulanda, tenu comme l'un des principaux obstacles � la paix, et de son remplacement par l'id�ologue de la gu�rilla Alfonso Cano.

"Marulanda a �t� un homme important du XXe si�cle. Mais Alfonso Cano est susceptible de donner aujourd'hui une impulsion vers la paix, ce dont �tait incapable son pr�d�cesseur", a estim� le d�put� de gauche et ancien gu�rillero Gustavo Petro.

Les m�dias avaient organis� lundi des radios-trottoirs. Pour la majorit� des auditeurs, la mort du vieux chef gu�rillero � pr�s de 80 ans ravive l'espoir de mettre un terme � 50 ans de guerre civile et d'obtenir la lib�ration des otages des Forces arm�es r�volutionnaires de Colombie (Farc).

Les Farc r�clament la lib�ration de 500 gu�rilleros d�tenus en �change de celle d'un groupe de 39 otages, dont la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, s�questr�e depuis plus de six ans.

Pour les auditeurs, Cano, un intellectuel mod�r� issu de la petite bourgeoisie de Bogota et qui fait partie de "la branche politique" de la gu�rilla marxiste, est plus ouvert et apte � n�gocier la paix que Marulanda, qui �tait consid�r� comme un paysan obstin� et sourd aux arguments de ses interlocuteurs.

"Les Farc, sous une tr�s forte pression militaire, ont l'option d'une sortie n�goci�e du conflit et Cano pourrait �tre capable de g�rer pour la gu�rilla une telle initiative", a estim� Alejo Vargas, politologue � l'Universit� nationale de Bogota.

L'ancien otage Luis Eladio Perez a lui aussi jug� que la nomination de Cano "est peut-�tre le d�but d'un processus de paix avec les Farc et une possibilit� de faire avancer le th�me de la lib�ration des otages", dans une d�claration au quotidien d'opposition El Espectador.

Tous les hommes politiques et journalistes qui ont connu Marulanda affirment que ce dernier avait mis en place un syst�me de commandement tr�s centralis� et qu'il �tait fondamental pour l'unit� de la gu�rilla.

Le directeur du journal communiste "Voz", Carlos Lozano, a rappel� que "les sept membres du Secr�tariat (organe dirigeant) vouaient une "v�ritable v�n�ration" � Marulanda, "l'autorit� supr�me qui tranchait toujours en cas de conflits".

Une partie de la droite colombienne ainsi que des membres du gouvernement conservateur d'Alvaro Uribe ont pr�dit l'effondrement rapide et total des Farc.

"L'�limination des Farc est en bonne voie", a estim� le ministre de l'Int�rieur Carlos Holguin.

Pour l'analyste politique Alfredo Rangel, ce d�c�s "est un coup moral d�finitif" port� aux Farc "qui pourraient abandonner la lutte arm�e".

La disparition de Marulanda est le dernier d'une s�rie de durs revers pour la gu�rilla dont la mort du num�ro deux des Farc, Raul Reyes, abattu le 1er mars lors d'un raid de l'arm�e colombienne en Equateur et une s�rie de trahisons et d�sertions dans les rangs rebelles.

L'Equateur, qui a rompu ses relations diplomatiques avec la Colombie � la suite de cette attaque, a exprim� lundi l'espoir que le conflit se termine de mani�re pacifique.

"Nous gardons l'espoir que ce changement � la t�te des Farc d�bouche sur des solutions historiques pour un conflit qui affecte toute la r�gion", a d�clar� le vice-ministre �quatorien de la D�fense, Miguel Carvajal.

Quant au Venezuela, la premi�re r�action du gouvernement v�n�zu�lien a �t� de d�clarer que "les autorit�s v�n�zu�liennes ne sont entr�es en contact avec la gu�rilla des Forces arm�es r�volutionnaires de Colombie (Farc) qu'� la demande du gouvernement colombien"

"Tous les rapports que notre gouvernement a entretenus avec la gu�rilla colombienne (Farc) ont eu lieu � la demande du gouvernement colombien, et il en sera de m�me � l'avenir", a d�clar� lundi le ministre v�n�zu�lien des Affaires �trang�res, Nicolas Maduro.

"(Le chef historique des Farc, Manuel) Marulanda n'a jamais eu besoin du Venezuela pour �tre Marulanda, ni les Farc n'ont eu besoin du Venezuela pour �tre les Farc, a ajout� Maduro. La gu�rilla colombienne est un ph�nom�ne ancien et va au-del� du ph�nom�ne gu�rillero en Am�rique Latine, qui a surgi apr�s le triomphe de la r�volution cubaine (de 1959)".

Au Nicaragua, le pr�sident Daniel Ortega, ancien dirigeant de la gu�rilla sandiniste, a pr�sent� ses "condol�ances et sa solidarit�" aux Farc et a d�plor� la mort "de son fr�re Marulanda", provoquant l'irritation de la presse colombienne.

[YENAMAR]

On ne peut que saluer la libert� d'expression des (soi-disant) mod�rateur de ce site qui ne prennent m�me pas la peine de virer les photos pornos peu reluisantes qui n'aident certainement pas la cause de la lib�ration d'Ingrid Betancourt.

Signalons cependant le communiqu� d'Interpol dont les comit�s et idiots utiles des Farcs nient la validit� des expertises afin de remettre les pendules � l'heure :

https://www.interpol.int/Public/ICPO/PressReleases/PR2008/PR200829FR.asp

On peut militer pour Ingrid sans tomber pour autant dans les jeux de Correa, Chavez et cette ignoble s�natrice Cordoba qui chacun � leur mani�re ont utilis�s Ingrid en fonction de leurs propres inter�ts.

L'aveuglement de cette cr�tine de Yolanda Pulecio est � cet �gard pronfond�ment navrant et ne fait que souligner le choix que cette famille � fait de se mettre du c�t� des ravisseurs de leur propre fille.

On peut sans doute attribuer ce fait au syndrome de Stockolm cependant il y a sans soute derri�re cela des maneuvres � travers leurs diff�rents comit�s antagonistes et des choses secr�tes dont les principaux dindons (des Farcs) sont les pauvres gens �mus par le tragique sort d'Ingrid Betancourt.

Cependant ces gens l� ignorent le contexte g�o-politico-historique de la Colombie et s'alimentent � la propagande d'extr�me gauche qui ne font que projeter leurs id�aux sur ce pays lointain qui ont �t� depuis bien longtemps d�voy�s par le trafic de drogue

En tant que Franco Colombien je suis pronfond�ment choqu� de cela et sans �tre Uribiste je le pr�f�re encore � cette famille et leurs comit�s gu�re plus recommandable au regard de ce que j'ai pu lire comme d�sinformation sur ce site.

Enfin l'histoire des �tudiantes en colonie de vancances dans le camp retranch� des Farcs en Equateur avec les mensonges de cette mexicaine r�v�l�es par 24h.noticias me fait vraiment rigoler.
Va falloir trouver mieux pour les d�fendre et accuser le gouvernement colombien de massacre.
Ra�l Reyes est une cible pour tous les gouvernements colombiens depuis bien des ann�es Ingrid Betancourt ou pas.

Le seul fait critiquable est l'agression du territoire equatorien mais la d�couverte des ordinateurs et de leur contenus qui l�vent le voile sur les jeux de Correa Chavez et Cordba valait la chandelle. A quand les ordinateurs qui r�v�lent les jeux et int�r�ts des Comit�s je suis tr�s curieux !

[Invit�]

quelle blague votre communique de presse.
Uribe veut conserver le pouvoir ! ah ah ah

C'est plut�t la cour supr�me de justice qui comme la majorit� des politiques en Colombie est tout aussi corrompue et � m�me b�n�ficier pour certains de ses membres d'invitations � des week-end tr�s louches tout frais pay�s par des groupes paramilitaires sans jamais daign� s'expliquer sur ce fait.

Cette cour supr�me n'acte pas avec la m�me diligence pour les sombres activit�s de Piedad Cordoba qui fait l'apologie de marulanda et ses liens avec la guerilla que pour les liens avec les paramilitaires.

Cette cour supr�me � d�cid� de faire tomber Uribe en d�ligitimant son �l�ection.

Alors que le peuple colombien souverain d�cide et que l'on proc�de � une nouvelle �lection. Ne vous en d�plaise cher comit� de d�sinformation antiuribiste